Affrontement épique (PV Aurora)

Chapitre II
Après le fils, la mère !

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Marcus Julius, après son entrevue avec le gamin des Valerii, s'était dit qu'il ne tarderait pas à avoir la mère sur le dos, en bonne maman-poule qu'elle était avec son fils, voire même toute la famille Valeria. Bref, pour un stupide parchemin, il risquait de devenir l'impertinent le plus recherché de Rome ! Bon, c'est vrai, il l'avait peut être un peu cherché, mais quand même...
Juste le lendemain matin après l'épisode de la bibliothèque, il croisa cette chère Aurora... chose dont il se serait parfaitement passé.
De bonne heure, il avait eu un entretien avec quelques 'collègues' tribuns, il s'était donc habillé en circonstances : revêtu d'une armure légère aux emblèmes de Rome, l'aigle enserrant la foudre du divin Jupiter, et du lion familial, avec en dessous, une tunique sombre, reflétant bien son humeur, sans oublier sa cape de velours. Il s'autorisa cette fois à attacher son glaive à sa ceinture. Le déroulement de la réunion avait été banal, presque habituel, aux yeux du patricien. Les derniers rapports en provenance des contrées hostiles ne l'avaient guère intéressé, aussi il avait préféré plonger dans ses pensées les plus préoccupantes.

Cela dura deux bonnes heures, deux heures ennuyeuses à mourir et sans importance. Lorsqu'il sortit, ce fut avec un intense soulagement qui lui arracha un soupir d'exaspération en quittant les autres tribuns. Le jeune homme se dirigea alors vers le Forum Romanum, une simple habitude quotidienne, qui lui permettait de croiser quelques amis - mais aussi des ennemis - et de discuter des derniers racontars. Il s'assit sur un banc juste en dessous d'un énorme cyprès qui lui offrit généreusement son ombre bienfaisante. Il regarda distraitement les gens passer, avant de se lever pour rentrer. A ce moment là, un 'convois exceptionnel' apparut : une litière luxueuse portée par d'immenses esclaves et protégée par d'autres tout aussi impressionnants hommes sans liberté. Ils étaient certes baraqués, mais Marcus douta avec raillerie de leur érudition.
Il s'agissait sans aucune hésitation d'un ou une riche nobilitas qui s'exposait avec un plaisir consommé dans ce faste et cette grandeur que méprisaient le patricien. Celui ci décida de passer quand même pour rentrer chez lui. Au dernier moment, il remarqua le symbole des Valerii, mais accéléra le pas de l'autre côté de la route. Il regarda d'un oeil mauvais la litière passer devant lui. Il se retourna ensuite pour poursuivre sa route.
Le jeune homme ne vit pas le bâtiment s'arrêter, il entendit juste son nom résonner dans ses oreilles, sifflé par une voix étrangère ; il fit brusquement volte face et aperçut celle qu'il désirait le moins voir au monde ce jour là : Aurora O. Valerii.

Aurora c'était lever de bonne humeur aujourd’hui. Son fils ne lui avait pas parlée de ce qui c'était à la bibliothèque. Elle se leva de bonne humeur sauf que cela ne dura que très peu de temps. En effet Aurora eux vent de ce qui c'était passée par les esclaves qui connaissait tout les regaots de Rome grace au bouche à Oreille. Aurora fut prise d'une colère folle. En plus Pheobus eux affaire à Marcus Julius Maximus. Un homme que Aurora aurait volontiers tuée ou même empoisonnée ou alors elle aurait laisser un de ces nombreux serpents le mordre. Aurora ne pouvait pas en vouloir à Pheobus de ne pas lui l'avoir dit il ne voulait certainement pas que sa mère sois en colère alors qu'elle avait passer une bonne. Aurora ne tarda pas à se préparer. Aurora n'était pas encore habillée quand uns des esclaves arriva sous les ordres de Aurora.

-Préparer la litière je sort en ville.

L'esclave quitta immédiatement la pièce. Aurora mis une longue tunique rouge avec de l'or. Elle regarda rapidement ces serpents. Elle se demanda si elle devait en prendre un avec elle. Sauf que non cela ferait trop étrange donc Aurora attendit que les esclaves est sortit la litière. Aurora ne dit rien durant toute la durer du voyage. Aurora n'était pas patiente et elle était en plus de mauvaise humeur. Les esclaves n'était que des idiots. Aurora irait plus vite à pied. Franchement à quoi servait les esclaves si ils étaient incapable de faire leurs travail. Aurora regardait les gens de haut du haut de de la litière. Tous crétins les uns comme les autres. Puis elle vit alors l'homme qu'elle cherchait en train de s'éloigner asse vite de litière. Certainement pour évitée Aurora. La litière se stoppa net. Aurora regarda l'homme partir. Elle afficha un sourire ravie. Il voulait évitée Aurora et malheureusement il n'avait fait que de se faire remarquée.

-Marcus Julius Maximus ?

Le patricien la vit, allongée dans sa litière, aussi belle et détestable que d'habitude. Surtout qu'elle n'avait pas trop l'air de bonne humeur, ce qui en rajoutait à son allure hautaine et méprisante. Le jeune homme n'avait pas apprécié la manière dont elle prononça son nom, comme si son nom lui même était une maladie incurable. A cet instant, oui, Marcus aurait bien aimé que ce soit le cas, pour qu'il la voit dépérir en direct.
Lui cracher avec mépris quelque parole offensante à la figure aurait été la pire chose à faire dans son cas, mais puisqu'elle avait l'air au courant et de mauvais poil, autant saisir l'occasion pour la souris de tirer la langue au vilain serpent.

- Oui, il parait que c'est moi.

Il avait lancé cela d'un ton doucereux et sarcastique, d'un air de dire : "Waouh tu connais mon nom, et en plus tu sais mettre une tête dessus, trop classe !". Bref, il tenait parfaitement son rôle de petit... effronté, pour ne pas dire autre chose, et bien qu'il y risquât sa peau, ça commençait justement à... l'amuser. C'était grisant de voir à quel point on pouvait énerver les plus puissants de Rome et qui se prenaient justement la peine de répondre pour ne pas être ridicules. En même temps, sa spécialité était justement d'agacer ces gens là, alors qu'ils le traitaient de vermine et d'incapable.
Pour accuser le coup et continuer la raillerie jusqu'au bout, il inspira avec un sourire charmeur sur les lèvres avant de déclarer, suffisamment fort pour qu'on l'entende autour de lui :

- Vous êtes toujours aussi exquise aux yeux de tous. Mais ce que je préfère chez vous, c'est votre langue de vipère.

Youhou, s'il n'allait pas recevoir de glaive dans le ventre pour avoir dit ça, il aurait beaucoup, beaucoup de chance. Il posa machinalement la main sur le haut du pommeau de sa lame, attendant stoïquement que la terrible colère de la bonne femme n'éclate.

Ne sois pas si arrogant. Tu sais à qui tu d’adresse ?

Ce ton ne plaisait pas à Aurora. Il se croyait malin, fort mais, il n'était qu'une petite vermine que Aurora aurait du écraser depuis longtemps. Mais, non... Aurora était trop gentil. Marcus se croyait fort et douée à ce petit jeu sauf que Aurora pouvait très bien le battre à son propre jeu. Et en plus de le ridiculisée elle en tirait une satisfaction personnel de voir s'abaisser ce misérable. Aurora garda longtemps le jeune homme. Puis elle regarda le peuple. Elle les regarda longuement pour le faire comprendre que le spectacle était terminée et qu'il pouvait tous partir. Au bout de quelques minutes les gens commencèrent à partir. Aurora sourit. Marcus n'avait plus de publique. Il était seul et en plus il n avait aucune chance contre Aurora. Elle n'allait pas se mettre en colère. Non... Cela lui ferait trop plaisir et il serait ravi que la femme montre son vrais visage. Il était fort mais, Aurora l'était encore plus... Elle descendit alors de la litière. Puis elle regarda de loin quelque instant le jeune Marcus. Puis elle s'approcha. Il osa insultée Aurora devant le peuple. Même si Aurora mourrait d'envie de le tuer ou de le faire tuer. Elle ne dit rien et attendit que tout le monde parte.

- Je ne suis pas le serpent dans cette histoire... Regarde toi. Tu est pitoyable. Je ne voie même pas pourquoi je me suis déplacée pour toi. Sais tu pourquoi je suis ici ?

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